Erithacus rubecula est son nom scientifique.
C'est un passereau de la famille des Muscicapidae.
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| Voillans 6 janvier 2017 |
adulte
Vous l'aurez tous aperçu un jour dans le village !
Le rouge-gorge familier est aisément reconnaissable avec sa poitrine et la face rouge orangé, contrastant avec les parties inférieures blanchâtres. Les parties supérieures sont brun-vert-olive, ainsi que les ailes et la queue.
Le bec conique est brun foncé avec la base claire. Les yeux sont noirs. Les pattes fines et les doigts sont brun clair. taille de 12,5 à 14 cm et un poids de 16 à 22 grammes.
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| Voillans 6 janvier 2017 |
Le rouge-gorge se nourrit dans les campagnes ouvertes et dans les sous-bois. Son régime alimentaire est composé surtout des invertébrés vivant par terre (insectes, notamment des coléoptères, escargots, vers, araignées). De l'automne au début du printemps, il consomme aussi beaucoup de baies et autres petits fruits.
Le rouge-gorge fait partie d'une espèce d'oiseau très agressive, et certains mâles se battent parfois à mort pour défendre leur territoire.
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| Voillans 6 janvier 2017 |
Nid : Le rouge-gorge fait son nid dans les trous d'arbre et de mur, également dans les jardins et dans les haies, parmi les plantes grimpantes, sur les étagères des dépendances, souvent à proximité d'une touffe herbeuse ou d'un arbuste. Il utilise parfois des boîtes à lettres ou des boîtes de conserve usagées.
Actions de protection
Adepte des mangeoires, où il se régale tout particulièrement des vers de farine, le rouge-gorge se nourrit également de petites graines, de noix, d'avoine, de pudding pour oiseaux, etc. Le rouge-gorge adore le beurre et la margarine. Il accepte les miettes de pain, la graisse, les débris de viande et de pomme de terre.
Les rouge-gorges recherchent leur nourriture surtout au sol ; c'est pourquoi il convient de leur procurer des aliments (raisins secs, baies séchées, flocons d'avoine trempés dans l'huile, insectes) au niveau du sol, à l'abri de la pluie.
- Protection
Le rouge-gorge familier bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981(modifié en 2009) relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser.